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L’objectif de ce travail est de montrer que la prévention situationnelle est la mieux adaptée pour prévenir les violences sexuelles faites aux femmes. Ce sont 35 auteurs de violences sexuelles et 50 femmes victimisées sexuellement, qui ont participé à l’étude. Quatre techniques de recherche ont été utilisées : l’entretien clinique, l’observation clinique, l’étude documentaire, les tests psychologiques dont l’estime de soi et le test du DSM IV de l’association américaine de psychiatrie. Deux théories ; la théorie du choix rationnel et celle des opportunités ont été convoquées pour comprendre et savoir l’élément sur lequel il faut agir pour prévenir les victimisations sexuelles. L’analyse des données a montré que la prévention situationnelle est adaptée pour prévenir les violences sexuelles. En effet, les facteurs de risques et opérationnels ont facilité la commission des actes de violences sexuelles ou la victimisation sexuelle. Les différentes mesures proposées sont déduites de la modification des circonstances des violences sexuelles.